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 Quoi de plus affligeant que l'émoi génital ?! [G.O.S]

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AuteurMessage
Gail O. Stolenfield
Gail O. Stolenfield

Lies, Lies and Always Lies.


Messages : 2
Date d'inscription : 19/12/2010
Localisation : Dans le Q de V.

Quoi de plus affligeant que l'émoi génital ?! [G.O.S] Empty
MessageSujet: Quoi de plus affligeant que l'émoi génital ?! [G.O.S]   Quoi de plus affligeant que l'émoi génital ?! [G.O.S] EmptyLun 20 Déc 2010 - 2:55

    ♠️ ♥️ ♣️ ♦️ GLOBALITY ♠️ ♥️ ♣️ ♦️

    • Pour commencer, votre nom ?
    O, Stole & Field.
    • Le Prénom ?
    Gail.
    • Si vous possédez un Surnom, saisissez votre honte et livrez - le.
    G, par les testicules de V, quand ils font l'amour.
    • Entre les Androgynes etc.. Autant demander. [ ♂/♀ ] ?
    ♂.
    • Depuis quand existez - vous, jeune personne ?
    Trente et un Octobre.
    • Sexuellement parlant, vous vous orientez vers ?
    Bisexuel, au moins. Embrassez qui vous voudrez.
    • Importé d'un quelconque pays? Du moins, vos origines?
    Quartier Barnett, Londres Zone 5, U-K
    • Classe souhaitée ?
    Littérature, Dominance Anglaise.
    • Vos compétences linguistiques ?
    Anglais, Japonais, Latin. (Joke so hilarious.)
    • Connaissez - vous déjà quelqu'un, ici ?
    Me croyez vraiment si je vous sors que Kanon, c'mon papa ? Sinon y a Heather, elle aussi, elle fuit la vie, c'est une conne. Elle fait des vœux, il parait. Mais les vœux ça meurt comme les flocons de neige sur le bout des doigts. Avant, elle avait un môme, je crois. Un gosse qui met ses mains sur la table à l'heure du dîner. Vous l'auriez vu, vous auriez dit qu'il avait quatre ans au lieu de dix. Un attardé, je crois. Un attardé sur lequel j'étais le seul à m'attarder moi - même.

    ♠️ ♥️ ♣️ ♦️ PHYSICS ♠️ ♥️ ♣️ ♦️

    • Votre allure globale, elle donne ?
    " Avec cette fausse sincérité. Cette pulsion dans les règles ; dans les règles du sexe faible. "

    il exhibe ce code barre "Enjoy", à la droite de son nombril. Le coup des tatouages, j'ai toujours trouvé ça cute. Ça vit dans vos souvenirs, ces machins là. Ça vous rappelle les bons moments. S'il y en a eu. Des membres filiformes & une silhouette élancée au dessin gracieux. Cette touche d'insolence et cette allure pourtant si sage ne servent pas à se démarquer. A quoi bon vouloir être différents, si tout le monde exige de l'être ? Il faudrait revoir cette fichue histoire d'originalité, mh ? Je doute que vous visiez juste. Un mètre soixante sept, cinq millimètres. Le grand con y tient, à ce genre de détails. Maigre. Brindille. Affreusement maigre, en fait. S'il se maquille de solitude, vous le démaquillez d'humanité. Assumez ses yeux impassibles lorsqu'ils s'introduisent pertinemment dans les vôtres. Voyez - y le mépris, la séduction qu'ils exercent sur votre personne. Consumez les sentiments amers qu'il dégage, sur l'ensemble de ses traits fins, trop féminins. Il n'est ni parfait ni mignon, ni unique. Gail n'est rien, mais il vaut plus que vous. le british possède le charme charismatique de l'adolescente au corps inachevé. Ce corps d'enfant frêle marqué au fer rouge d'une innocence qu'on ne perçoit plus, recouverte trop tôt par la douceur maladive des paradis artificiels. Raisonnablement, bien sûr. Et pourtant il vit d'excès. Ce regard cerné de noir, qui embellit les perles de ses iris. Ces cils longs qu'on ne remarque que d'une façon trop évidente. En réalité, vous aimez le contempler. Vite fait, peut être, mais la démarche n'empêche pas l'action. Ses lèvres. Ses mains squelettiques. Des mouvements habiles, dominants, calmes. Des cheveux fins. Une gorge longue, sublimée par une pomme d'Adam à la peau douce et laiteuse. Porcelaine. Des hanches étroites, des chevilles minces. Un dos profilé à la courbe d'un S, si on y ajoute les hanches, et le regard ancré sur le sol.
    Une expression impassible ?
    Tentez de le comprendre, si vous croyez cela encore possible.

    • Défaut de Fabrication, particularité à communiquer ?
    Souffre de Mythomanie. C'est à force de rêver de quelqu'un d'autre qu'on finit par le devenir, l'exsuder ; le vomir.

    • Citez trois adjectifs pour résumer.
    Vulgaire ; Mauvais ; Insupportable.

    ♠️ ♥️ ♣️ ♦️ PSYCHOLOGY ♠️ ♥️ ♣️ ♦️

    • Que savez - vous de votre caractère ?
    " T ' sais, quand t'as regardé le ciel, y avait un truc de beau. Parce qu'au moins toi ,t'as vu que même les nuages, même eux, ne voulaient pas rester ici. Alors quoi, t'envies leur liberté ? Une paire d'ailes et tu montes haut dans le ciel ? T'es la décadence, Guy ! Tu déchantes et tu tombes, tu fermes les yeux, ta gueule ; tu sombres ! "

    Il aurait pu leur montrer la beauté du monde. S'il avait cru l'apercevoir. Alors quoi, le train train permanent, il fallait le subir ? Cette folie passagère qui glisse à vos oreilles des maux qui font souffrir? Qui pourrissent l'âme et qui désintègrent le rêve. Laissez le rire. Il s'esclaffe ; n'en peut plus. Cherchez l'erreur : cherchez vous. Le gars qui blesse en le voulant. Qui assume, tu sais, le mec branché aux abords froids que t'oses aborder juste pour du feu. On dirait pas qu'il peut protéger quelque chose. il brise trop, il brise tout. Dans vos enfances trop sages, vous oubliez le néant de l'infini, vous savez, ce truc qui vous effraie, au fond. Vous vous forgez une espèce d'égo que vous êtes seul à entendre. Qui vous maîtrise, vous domine. Vous êtes devenus fade. Gail tout autant, sinon davantage. Il sera toujours l'autre que l'on ne connait pas. Imprévisible petite enflure. Poussé par un désir d'assouvir les moindres de ses pulsions, de ses caprices, il manipule. Les ficelles des petits pantins ne se briseront pas. Parce que c'est Gail qui joue avec. Élixir de perversion, de méchanceté trop souvent confondue avec franchise, d'indifférence et d'amour. Paradoxalement Imparadoxable. Une soif de liberté à travers un comportement bohème, des attitudes changeantes et des sauts d'humeur à tendances pessimistes. Le gosse perdu, en quelque sorte. Mélangez ce dernier avec le Junkie invétéré, mais sans ce foutu cliché du Bob Marley, soyez sympa. Vous voyez, c'est un peu une désillusion. Le gamin écervelé assis au fond de la classe. Qui pousse ses camarades, et même presque son professeur à se remettre en question sur l'utilité de leurs existences respectives, d'une manière un peu trop insolente, c'était lui. C'était Gail. Il se perd au moins autant que celui qui ose lire ce piètre paragraphe. Qui suit ces lettres, qui forment ces quelques mots pour mieux se métamorphoser en phrases. Et vous continuez, de plus. Je vous ballade. A la fin, Vous aurez beau chercher un sens à cette description, vous n'en trouverez pas.
    Comme si c'était pour vous déplaire.
    Comme si quelque part, vous en aviez quelque chose à faire.

    • Communiquez votre devise personelle.
    "Moi, si j'suis nul en maths, c'est que j'ai jamais compté pour personne."

    • Vos Opinions sur vos camarades ?
    Mauvaises. La plupart sont des gamins perdus qu'on envoie au front. Pour s'en débarrasser, parce qu'au frontd, on est que du foutre semé par nos parents, comme les petites graines, là bas, dans les champs. Comme les plantes qui viennent, fleurissent, qu'on aime et qui s'en vont.

    • Des Envies/Projets ?
    De meurtres? Pleins. Mais je suis qu'un emmerdeur emmerdé. Moi, les projets, j'essaie de les donner aux autres, je les fais devenir moto-crottes, éboueurs parce que comme on dit, y a pas de sous métiers, n'est ce pas? Mais moi je leur donne ce qu'ils veulent, aux autres. Je leur offre un carrière, une femme des enfants, vous savez. Le preuve que je suis pas qu'un putain d'égoïste. Mais tout ça, ça sert à rien. Tout ça, c'est dans ma tête.

    • Poursuivez. Des Phobies ?
    Paraît que mes mensonges sont dangereux, que s'ils sont trop nombreux, il me paieront un aller sans retour au pays des tarés. Selon les médecins, je fais des manipulations surdouusées, quelque chose qui ne plait pas beaucoup aux imbéciles.

    • Finissez à nouveau sur les trois adjectifs.
    Marginal, puéril, Tartufe.

    ♠️ ♥️ ♣️ ♦️ BIOGRAPHY ♠️ ♥️ ♣️ ♦️

    • I l me faut votre vie. En détail. Et vous allez me l'écrire.
    -L'AFFAIRE STOLENFIELD- :
    " Non, j'me sens pas souillé."

    Journaliste: Il parait que vous possédiez un don plutôt malsain pour changer d'identité ? Comment ça ?

    Mr.Stolenfield: " C'est arrivé deux trois fois, quand j'étais gosse, en fait. Au super marché, tu vois, une méprise. Puis ca continuait, et perso, comme je m'en suis toujours foutu des autres, j'ai toujours éprouvé un plaisir particulier à lire un bouquin. De tout. Alors en grandissant, j'ai changé mes habitudes de façon drastique. Je prolongeai dorénavant le retour à la maison par des escapades différentes. Qui plus est, avec la croissance, ca s'est pas trop arrangé. De pire en pire, en fait, et -pas folle la guêpe- Je me suis vite aperçu que je pouvais faire pas mal de trucs grâce à ça. Rien que trois jours avant l'affaire, pour te filer un exemple dans ton article, à la poste, un homme à l'allure de notable et au teint rubicond m'appela Adrian, soutenant que l'on avait effectué ensemble un stage d'équitation près de Fontainebleau. J'ai nié en souriant. Au marché, une vielle femme au chignon serré et au tailleur bien coupé qui me faisait signe de la main. Quand j'eu voulu l'approcher, elle s'était volatilisée dans les rues, plus loin. A trois reprises, on m'a klaxonné. Une ravissante jeune femme avait accompagné les coups d'avertisseurs d'un large sourire, puis un motard avait joint au son un geste amical de sa main puissante, luisante d'une sueur à laquelle je mêlais franchement mon dégout. Crado, le mec."

    J: Vous pourriez développer ?

    Mr. S: "Chaque rencontre agrandissait mon univers. Ma culture devenait encyclopédique, mon imagination débordait. Comme un môme. Car tous les soirs, après avoir absorbé des ouvrages, je me voyais. Il n'était pas question pour moi de m'inscrire réellement dans un club de Poker, de tir à l'arc ou d'essayer le bronzage intégral en harmonieuse compagnie, non, il était question d'y être : et la seule façon d'y être, totalement et immédiatement, était de s'y voir.
    Et j'y étais parfait. Toujours. J'entrais dans une belle inconscience, utopie de je ne sais quoi qui a du trop chauffer les neurones de là haut. Dans un putain d'engrenage dont je ne pouvais voir la fin. La pente était douce ; je m'y laissai glisser avec plaisir, je m'en foutais, parce que c'était bon. C'est comme la drogue. Ouais en fait non, ca n'a rien à voir.
    Les jours qui suivirent ? Je devins. Étudiant brillant ayant reçu un prix pour une nouvelle fantastique, Serveur d'un café, Jeune acteur d'une petite série. Je me contentais d'acquiescer, répondant sombrement aux questions. Le plus important était de suivre le mouvement engagé par l'interlocuteur, de l'accompagner du mot approprié, d'un hochement de tête qui confirmait. j'aimais leur donner raison. J'aimais leur donner ce qu'ils demandaient. Je pouvais suivre des conversations avec n'importe qui, n'importe où. Je dégustais les mots, en fait. Je les plaquais sur mon palais, et sachez - le, ils étaient franchement exquis. En gros, voilà comment toute cette merde m'est montée au cerveau. Destin? Tu parles ! J'ai jamais cru au destin."

    J: Il n'y a donc plus rien entre le coupable et vous, désormais, c'est cela ?

    Mr. S: "Mh. Le désir prend fin trop vite, en fait. Et si. Ouais. Il prend fin tout seul, il est mort, tu baises un cadavre, avec toi ça fait deux."

    J: Est - il possible que vous nous contiez la rencontre avec...

    Mr. S: " ...Il avait un ruban vert autour du cou, un piercing à l'oreille, les cheveux miel foncé. Il avait la taille haute, les jambes longues d'adolescent bien nés. J'étais plus jeune. Oui forcément, pour vous, trois ans, c'est rien. Juste qu'aujourd'hui, je ne rougis plus comme un con. Parce qu'à l'époque, j'étais pivoine et j'avais l'impression qu'il me voyait à poil. Carrément. J'ai détourné les yeux sur le sol. Ça ne m'est arrivé qu'une fois. Je lui en voulais. Il avait aucun droit de me faire sentir aussi mal. Savez, je pense que c'est à cet instant que j'ai voulu lui foutre la misère. C'est assez dommage pour lui, parce qu'il s'est avéré que j'ai gagné le jeu, au final. C'est sûr, j'ai aussi gagné le ticket du mec à moitié barge alors c'est pas plus glorieux. Mais à la fin, il est en taule. Certes, Je le suis aussi. C'est pas le même type pour les gagnants, tu vois. "

    J: Et comment tout cela s'est il déroulé ?

    Mr. S: " Ben en fait, il était canon, je viens de te le dire. Un androgyne pas trop mal taillé. Manque de bol pour lui, il avait 19 ans, et 19 ans, ça peut ruiner ta vie si tu cèdes à quelqu'un qu'en a 14. Crois moi, la tentation, je connais. Vertige qu'a le visage d'une illustre inconnue dont on ne se souvient que trop bien du parfum. un mélange de cannelle, de vanille, de mangue, un truc un peu trop sucré pour être honnête. On s'est revu deux trois fois, vite fait. Je m'incrustais un peu partout, et je le détestais de me rendre amoureux. C'est chiant, l'amour. Avec lui, ca l'était moins. On peut dire que c'est gnangnan, à la fin, on est victime du bordel, c'est comme les chansons à la radio. Tu vois pas? Laisse, t'es vieux, c'est normal. Je sais pas trop comment décrire le genre de relation, parce que c'était plus un " A dans deux mois, bébé, on se recroise bientôt." Je le haïssais autant que je l'aimais, mais c'était pas dans le bon sens. Il y a les gens qu'on aime et qu'on chérit, il y a les opposés qui s'attirent. Je me suis improvisé mannequin, à ses yeux. Je lui ai parlé d'un magazine branché ou j'avais été engagé dès les premiers mois de mon adolescence : le cygne gobait tout. Emplumé, et pas qu'un peu."

    J: En sortant du parquet, vous avez annoncé vous sentir en parfait état de santé, sans aucun séquelle mental. Rien n'a paru suspect ?

    Mr. S: " J'ai pas envie de tout expliquer, j'ai la flemme. Pis même, j'ai pas le droit, mon avocat vous flinguerait pour ce genre de question. Juste que je suis devenue une victime alors que je me sens pas si mal que ça. C'est mal foutu la loi, quand même. C'est quoi le dicton déjà ? Police partout & justice nulle part ? Je me souviens pas avoir vu de la volaille quand on s'est retrouvé à deux, lui et moi. Passionnel, oui. Politiquement correct ; joker. On s'en ai fait voir de toutes les couleurs, et j'ai poussé le vice un peu trop loin, parce que je suis allé vite ouvrir ma gueule, après ça. Ça se passait sur le lavabo, dans la douche. C'était profondément dégueulasse, parce que j'ai adoré, mais je ne me sens qu'à moitié sale. "Le mannequin branché a vite déchanté", m'a t - il dit. Ça a fini en une superbe nuit. Je n'étais pas consentant, mais ça, je ne lui ai dit qu'après nos ébats. Incroyable nuit, pourtant. Une nuit qui avait un gout de tribunal et d'attouchements sexuels au petit matin."

    J: Et pourtant, vous risquez d'être interné, aujourd'hui. Des explications ?

    Mr. S: " Cette partie là, t'es pas cool de l'aborder. Je suis devenu trop de personnages après ça, et je sais pas trop qui je suis parfois, tu vois. J'arrive pas à dire ce que j'aime ou pas, et y a des moments je suis obsédé par des choses dont je n'ai en réalité rien à foutre. Ça va du cauchemar aux hallucinations, ca tourne en boucle. Forcément, imagine laggle à mon papa chéri, quand il voit son gosse en plein délire. J'ai arrêté de me procurer toutes les merdes qui rendaient dépendantes, mais je me suis aperçu un peu tard que c'était pas du à ça. Inconsciemment, cette histoire m'a rattrapé et, tu vois, je crois que je suis vraiment choqué, en fait. Je sais pas. Y a des moments je vois son visage, et je me rappelle que je l'ai foutu derrière les barreaux. Y a des moments ou je me dis que c'est immonde, ce que j'ai fait, mais j'arrive pas à m'en vouloir, parce que je le sais, c'était sa faute. C'est lorsque je dis que c'est de sa faute, que les médecins tiquent. Je suis irresponsable, selon eux, et légèrement atteint d'une maladie dont je ne me souviens plus le nom. J'sais même plus si c'est une maladie, mais le gros microbe et mon seul symptôme, c'était une seule et unique personne, parait. J'ai que quelques mois pour redresser la barre. Pour leur prouver que j'suis pas un Toqué. Je les déteste, et ce à en crever."

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